[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Tch.. t'es en retard... Et merde...
feat Kô

Tic... tac.. tic..

Assise sur un entassement de bloc de béton sale, Jeni attendait. Attendait quoi? Son client.
Parce que même si elle n'était pas en Italie, ça ne l'empêchait pas d'exercer sa profession, dans l'illégalité totale. Même si habituellement, elle n'était pas réduite à jouer à la dealeuse de bas étage mais bon. Ca l'occupait, rapportait du fric et prouvait à son boss qu'elle était toujours active. Hors de questions de perdre ne serait-ce qu'un pourcent de ses capacités.

Alors pendant l'heure de maths à laquelle la jeune fille était censée être, c'était assise dans une ruelle mal fréquentée. Plusieurs personnes étaient passées, lui prêtant plus ou moins attention. Le désordre total régnait, des débris et du sang un peu partout. Ici ce n'était pas les routes. Ici les gens se battaient, se faisaient du mal, marchandaient... violaient de temps à autre. Cette pensée la fit frissonner. Plus jamais elle ne voulait voir ça, ou le ressentir. C'était un acte de violence qui la dégoutait plus que tout autre.

Un soupir agacé lui échappa. Le rendez vous était prévu à 16h15. Il était déjà 16h30 cette histoire commençait à l'agacer. La marchandise était dans ses poches intérieures de sa veste en cuir noir caché par la doublure. Son genou était relevé et son coude droit reposait dessus, permettant aux passants d'entrevoir sa peau pâle sous son haut transparent laissant entrevoir son soutif noir court. Les doigts de son autre main tapotait un rythme de chanson qu'elle avait en tête sur son pantalon noir moulant et ses converses pendaient lachement dans le vide.

La brune s'impatientait. Un regard à droite, puis à gauche, aucune trace d'une personne qui pourrait paraître être son client. Les piercings de son oreille droite tintèrent doucement, l'argent se rencontrant en un mini choc tandis que la jeune louve replaçait une mèche encre derrière son oreille.
Généralement, la mafieuse ne connaissait pas le visage de ses nouveaux clients avant de les rencontrer. Ce n'était que du deal pas quelque chose de plus important, alors cela lui importait peu. Même si ce ne serait pas une bonne idée de rencontrer quelqu'un qu'elle connaissait déjà, du pensionnat par exemple. Ce serait même mauvais pour elle.
Dans ce cas il n'y aurait pas trente-six milles solutions. Soit il se tairait pour pouvoir continuer à se fournir chez elle, soit.. c'était le meurtre.

Après tout, elle était mafieuse. Des meurtres elle en avait commis. Ce n'était pas une petite vie bien rose que la 4ème année menait, loin de là. Mais c'était son univers et elle préferait ça, à une vie tranquille guidée par la routine habituelle, l'amour et l'amitié. Beurk laissez moi rire. L'illusion d'une vie parfaite, c'est pas pour elle. Du tout.

Distraitement, ses doigts vinrent rencontrer le plastique fin qui contenait les capsules. Un souvenir lui revint en tête. Journée de pluie, l'une des mules humaines que sa famille utilisait ne pouvait pas faire le voyage prévu. Elle y était allée à sa place. Avalant avec difficulté les capsules, les apporter et revenir, tout ça en restant vivante.
Son boss n'avait pas voulu la laisser faire et en revenant, elle s'était fait bien engueuler tellement Rewan était énervé. Oui il avait eu peur, peur de perdre son bras droit, son amie, sa partenaire. Et elle avait sourit. Un beau sourire.
C'est une mauvaise copie de se sourire qui vint un instant relever le coin de ses lèvres d'à peine un demi-millimètre. Oh que oui, elle était folle.
Mais courageuse, ça personne ne pouvait en douter.

... Bon en attendant, Jeni glandait toujours au même endroit, attendant ce fucking client qui la faisait attendre. 'Tain celui-là hors de question d'être cool. Grr..

Hors Rp:

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Et puis après ?

Avec Jeni

Je ne suis pas dépendant d'elle. Seulement de ce qu'elle vend.

Saloperie de réunions à la con. Quelle idée de faire ça à la dernière minute ? Non, mais sans blagues, comme si je n'avais que ça à faire dans le vie : me mettre ce visage de gentil garçon et répondre '' Bien sur que je peux venir, j'en serais même ravi.'' Sérieusement, j'ai plus intéréssant au programme. D'ailleurs parlant de ça je suis en retard. Merde. Je me demande bien qui peux vendre dans un coin aussi perdu. Oh et puis en réalité je m'en fiche. Tant que j'ai ce que je veux.

Le rendez-vous que j'ai ce trouve à être dans une ruelle de mon quartier, mais, trop en retard pour passer chez moi, je devrais me présenter comme ça : toujours vêtu en homme sérieux et d'agréable compagnie. Bon, bien évidemment je suis TOUJOURS d'agréable compagnie. Sauf peut-être occasionnellement le matin. Et en fin de soirée. Et un tout petit peu l'après midi. Bon finalement vous n'avez qu'à arriver au bon moment et tout le monde ira beaucoup mieux.

Garrant ma voiture devant un édifice qui m'était totalement inconnu je suis sorti de ma Saleen S7 rouge qui faisait tache dans le décor délabré des lieux. C'est dingue à quel point certaines personnes accepte de vivre dans des conditions pareilles, me suis-je dis en vérouillant les portières. J'ai marcher quelques minutes avant de m'aventurer dans une ruelle étroite. Des poubelles, des amas de bétons... Le genre d'endroit ou on entendrait un chat de goutière dans les films. Ou le genre d'entroit où l'on deal.

Alors que j'étais cretain de ne pas trouver âme qui vive -sauf le chat- et que mon rendez-vous était parti, j'ai vu une fille assise sur un bloc de béton et visiblement impatiente. J'ai fait un petit sourire. Oh non, pas un sourire agréable, plutôt ce genre de sourire crispé qui se fond sur notre visage quand on croise la mauvaise personne au mauvais moment. Cette fille je la connaissais. Pourquoi elle, pourquoi ? Persuadé que la destiné m'en voulait pour je ne sais quelle raison (il y en a trop à examinées) je me suis avancé vers l'adolescente lasse de regarder l'horrible décore.  

♦ J'imagine que c'est toi qui m'attend.

Quand elle s'est retourné pour me voir, j'avançait d'un pas assuré, un nouveau style de sourire aux lèvres. Entendu et décontracté, voilà les mots qui aurraient pût me décrirent à cet instant. J'ai ajouté, en ponctuant ma dernière phrase d'un haussement d'épaule :

♦ Ça fait un bail qu'on s'est vu il me semble, Jeni. Faut avouer que tu te pointes pas souvent à mon cours...

L'image que je d'égagait maintenant était probablement très différente de celle de d'habitude, sans bonnes manières, sans sérieux, un peu à bout de sa journée et en début de manque : c'était à ça que ressemblait Kô Mikawa. Un bad boy avec une belle couverture qui achetait sa drogue dans une ruelle sombre après les cours.
Ouais, voilà ce que j'étais.


[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Tch.. t'es en retard... Et merde...
feat Kô

-J'imagine que c'est toi qui m'attend.

Jeni tourna la tête vers la voix, le son de ses pas étaient parvenu à ses oreilles depuis qu'il était descendu de sa voiture. Mais elle n'avait pas bougé. Pourtant, la voix ne lui était pas totalement inconnu, et la dealeuse se doutait que quand elle le regarderait, il serait une bien mauvaise surprise.

Un petit sifflement s'échappa de sa gorge, pas un sifflement d'étonnement ou de compliment. Un sifflement agacé, parce que son client, elle le connaissait assez bien en fait. enfin, un minimum. Parce que Jeni n'allait pas en cours. A quoi ça sert quand on a déjà un métier?

-J'attends mon client. Si c'est toi, t'es en retard.

Et oui, la mafieuse étant passablement irritée du retard que l'homme avait, son amabilité en prenait un coup. Tch.. jouer à dealer, ce n'était pas son boulot quoi! C'était surtout pour passer le temps.

-Ça fait un bail qu'on s'est vu il me semble, Jeni. Faut avouer que tu te pointes pas souvent à mon cours...

La belle se releva d'un bond, et fit craquer sa nuque, puis son dos, toujours en gardant fixé sur lui son regard vairon -son regard qui beug comme aurait dit le gosse de la familia- Se regard qui était froid, presque glacé et dure comme du diamant.
Son sourire à lui l’agaçait, c'était un peu trop sarcastique et focus pour elle.

-Je n'assiste qu'aux cours que je juge intéressant. Etant donné que je ne fais pas de fautes quand j'écris et que j'ai une culture générale suffisante, vos cours ne m'intéressent pas.

Elle était revenu au vouvoiement, c'était un client comme un autre après tout.

Hum.. Up? =3

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Et puis après ?

Avec Jeni

Je ne suis pas dépendent d'elle. Seulement de ce qu'elle vend.

Elle me regardait avec dédain alors que je continuais de sourire. Visiblement, elle appréciait autant que moi notre rencontre du jour. Au moins, j'étais fixé. Je prenais ce dont j'avais besoin et je retournais chez moi.
« J'attends mon client. Si c'est toi, t'es en retard. » Siffla t'elle.
Je grimaça. Non pas parce que son ton était méprisant, hautain et désagréable, mais parce qu'elle avait utiliser le tutoiement. Pour un homme qui venait d'une famille comme la mienne, ce genre de détails était des marques d'irrespect. J'aurais eu une sale correction à sa place. D'autant plus que Jeni était toujours mon élève, même si elle ne se pointait pas en cours.

Malgré mon agacement, je n'ai pas relever son erreur. Après tout, à cet instant précis je n'étais que son client. Et j'étais en retard qui plus est.

Elle se leva d'un bond, se faisant craquer de partout. J'ai retenu une nouvelle grimace de justesse. Elle continuait de m'observer agacée alors qu'elle reprenait la parole pour répondre à ce qui n'était pour moi qu'un simple commentaire.
« Je n'assiste qu'aux cours que je juge intéressant. Etant donné que je ne fais pas de fautes quand j'écris et que j'ai une culture générale suffisante, vos cours ne m'intéressent pas. »
Contrairement à ce que beaucoup auraient pût croire, je me fichais pas mal de ce qu'elle venait de dire. En fait, j'étais a un stade où je me foutais pas mal de tout. Tout ce qui comptais, tout ce que je désirais à cet instant c'était ce qu'elle avait dans sa poche. Et un peu de sexe peut-être, mais encore, ça restais secondaire. Temporairement du moins. De toutes façon, remédier à ce besoin là c'était facile pour moi. Un petit sourire charmeur dans un boite, quelques verres et hop ! Rendez-vous avec les étoiles. Cependant, même si je me fichais de tout j'ai souris de contentement. Elle avait recommencer le vouvoiment.

Passant rapidement ma langue sur mes lèvres je lui répondis :
« Tu fais ce que tu veux, Jeni, je suis pas ta mère. Juste ton prof. Si t'es pas dans mon cours aux heures convenues je n'ai rien a y redire..
Je pris un air soudainement beaucoup plus sérieux.
- T'a ce que je veux ? »

HRP :

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Tch.. t'es en retard... Et merde...
feat Kô

Une grimace. Le professeur de la jeune brune n'arrêtait pas de grimacer, elle devait beaucoup l'embêter apparemment.
Tant mieux, elle aurait été plus cool si le prof en question n'avait pas été aussi en retard.

- Tu fais ce que tu veux, Jeni, je suis pas ta mère. Juste ton prof. Si t'es pas dans mon cours aux heures convenues je n'ai rien a y redire...

Encore heureux qu'il n'était pas sa mère. Puis de toute manière, elle n'avait pas de mère. Et elle s'en foutait royalement. Les liens de sang ne sont pas forcément les plus forts, faut pas croire.
Revenant d'un coup à une expression sérieuse, l'homme planta ses deux orbes dans celles profondes et inexpressives de Jeni.

- T'as ce que je veux ?

La mafieuse sourit intérieurement. Enfin, on y venait.
Elle sauta de sa caisse d'un bond gracieux et se redressa, droite devant lui, une de ses mains passant dans ses longues mèches encres alors que l'autre avait le pouce crocheté dans sa poche droite.

-Bien sur qu'est-ce que tu crois?

Elle s'approcha de quelques pas, roulant légèrement des hanches. Lorsque sa démarche féline la fit s'arrêter à trois pas de Kô, Jeni plongea de nouveau son regard dans le sien.
The Game
Un jeu entre toi et moi? Qui gagnera?
Sa tête se pencha doucement vers son épaule gauche, plus rien n'indiquait du dédain dans sa manière d'être.

-Et toi...? Tu as ce que je veux?

Le fric. Et ton silence, c'est le seul moyen de profiter de ses services. Tant qu'elle n'aura pas son argent, la jeune demoiselle ne sortira pas la cam de sa poche. Il pourrait la fouiller autant qu'il voudrait, il serait presque impossible pour lui de la trouver. C'était facile à faire disparaître cette merde.
De l'intérêt c'est ce qui brillait dans le regard de la louve. Pas que pour le fric. Mais ce boulot excitait ses sens. Et puis il fallait le dire: Cet homme n'était pas si mal que ça. Bien foutu, et potentiellement intéressant.
Autant en profiter.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Et puis après ?

Avec Jeni

Je ne suis pas dépendent d'elle. Seulement de ce qu'elle vend.

Un jeu. Elle prenait tout ça pour un jeu. C'était écrit dans son comportement. Depuis que j'avait parler de la marchandise, son attitude avait radicalement changer. Alors qu'elle se rapprochait de moi en roulant les hanches exagérément elle me lança ;
« Bien sur qu'est-ce que tu crois? »
Elle avait recommencer à me tutoyer, mais je n'en prit pas trop connaissance, l'enjeu venait de changer d'un coup. On ne jouait plus avec les même règles. Je le savais d'instinct, mais j'ignorais encore duquel il s'agissait. Lorsqu'elle parla à nouveau, j'eu un léger froncement de sourcils.
« Et toi...? Tu as ce que je veux? »
Elle me prenait pour qui, la gamine ? Évidemment que j'avait l'argent. Pas question que je parte sans la marchandise. D'habitude j'étais plutôt prévoyant, mais à l'heure qu'il était ma réserve était à sec.

Je regarda un peu Jeni, quelque chose me dérangeait chez elle. Puis, lors que je porta attention à ses yeux je cru déceler une pointe d'intérêt. Je vis ma conscience sourire chaudement Hou la la, Kô, je crois que tu ne la laisse pas indifférente.. Si tu la jouais Grand jeu et qui tu lui montrait les étoiles ?
Je la fit taire rapidement -non sans prendre en compte son commentaire- et souris à Jeni.
C'était un sourire ravageur, je le savais bien après l'avoir utiliser à plusieurs reprises.
Je détailla l'adolescente en face de moi et ce que mes yeux m'offrait me plaisait bien.
Pour vérifier les intention de mon interlocutrice j'opta pour une blague. Blague qui n'en n'était pas totalement une, s'entend.
« J'ai l'argent, je lui fit un sourire charmeur rempli de sous-entendus alors que je le sortait de ma poche de manteau, à moins bien sur que tu ne veuille changer le mode de paiement.. »
Je comptais le tout, même si je l'avais déjà fais deux fois et ne releva que mes yeux vers elle, c'était une pose plutôt sexy qui, en general me disait tout de suite le niveau d'intérêt de la personne en face de moi.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Tch.. t'es en retard... Et merde...
feat Kô

-J'ai l'argent, à moins bien sur que tu ne veuille changer le mode de paiement...

A ces mots, Jeni sourit intérieurement, amusée.
Ses yeux suivirent tous les faits et gestes de son client, à partir du moment où il sortit les billets de sa poche -elle se tendit légèrement, sur ses gardes mais se relâcha après. On est jamais trop prudent.
Elle avait bien vu que son changement d'avait su suciter l'intérêt de Kô.

-La proposition est tentante, mais ça veut dire que je laisse l'argent sur place. Donc je risque de me faire taper sur les doigts.

Son faciès affichait désormais un sourire mis amusé, mis désolé.
Après tout, c'était vrai que la proposition l'amusait et la tentait. L'homme n'était pas mal mais alors pas mal DU TOUT.

La mafieuse fouilla dans sa poche intérieure et en sortit ce que Mikawa était venu cherché.
La drogue.
Son regard revint accrocher le sien lorsqu'elle avança d'un pas, puis de deux.
Les petits sachets de drogues dans la main, Jeni fit un clin d'oeil à Kô.

-Le fric en premier, c'est comme ça que ça marche.

Ce n'était pas tout à fait faux après tout. C'était la manière la plus courante de faire car après tout, le dealer était plus facilement en danger que le client. Quoique cette fois, la belle mafieuse ne pensait pas avoir besoin de sortir les crocs pour venir à bout de cet homme. Mais sortir hm... autre chose comme/chut.. j'vais devenir vulgaire si ca continue~

Codage Hikage

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Et puis après ?

Avec Jeni

Je ne suis pas dépendent d'elle. Seulement de ce qu'elle vend.

«La proposition est tentante, mais ça veut dire que je laisse l'argent sur place. Donc je risque de me faire taper sur les doigts. »

Ces mots me firent sourire. Ouais, peut-être que j'aurais droit à une partie de jambes en l'air en prime, puisqu'elle avait l'air intéressée. Ma proposition était "tentante" comme elle avait dit.
Elle avait bien vu l'argent. D'ailleurs une partie de son intérêt était rester sur les billets verts, je savais très bien. Comment lui en vouloir ? Le mien était bien fixé presque en totalité sur la marchandise qu'elle venait de dévoiler. Bientôt, bientôt cette merde coulerait dans mes veines. Cette simple idée me rendait dingue. Enfin, les effets indésirables du manque disparaîtraient !

« Le fric en premier, c'est comme ça que ça marche. »
Ça c'était quelque chose que je savais. Combien de fois j'en avais acheter depuis mes 15 ans ? Le total, je ne le comptait même plus. Trop long et trop inutile à mon goût.
« Cela va de sois. »
Je me suis avancer vers elle en tendant les billets.
Lorsqu'elle a voulu me les prendre, j'ai refermer ma poigne dessus et je l'ai regardée dans les yeux.
« Bien sur, rien ne nous oblige à mêler cette “petite affaire” avec ce deal... »
Marmonnai-je avec un sourire rempli se sous-entendus. Oh oui, le sexe aussi avait quelque chose d'appétissant .. En fait, ce serais même frauduleux de ne pas y gouter ne serais-ce qu'un peu..

HRP:

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Tch.. t'es en retard... Et merde...
feat Kô

-Cela va de sois.

Elle n'était plus du tout énervé. Ou plutôt si, mais dans un tout autre sens.
Lorsque Jeni tendit la main pour prendre possession de l'argent tenu par le drogué, celui-ci referma ses doigts dessus.
La main fine et froide de la jeune fille effleura celle qui contenait le fric et la brune leva son regard intense vers celui de l'homme.

- Bien sur, rien ne nous oblige à mêler cette “petite affaire” avec ce deal...

Ce sourire.... tellement explicite.
La mafieuse se rapprocha encore et posa sa main sur la sienne, rapprochant son visage du sien pour souffler des mots qu'il serait le seul à entendre.

- En effet, rien ne nous y oblige...

Sans plus attendre, la jeune femme fit glisser les sachets de drogue dans la main du professeur et délivra les billets verts de sa poigne. Ceux-ci rejoignirent rapidement la poche intérieure de sa veste en cuir.
C'était son dernier client de la soirée, alors elle pouvait bien se permettre un peu de bon temps.

Lorsque ses doigts ressortirent de son vêtement, ils effleurèrent par mégarde le buste du client.
La kendoka passa un bout de langue rose sur ses lèvres pour les humidifiées et planta ses deux orbes bicolores dans celles brunes de son homologue de sexe masculin.

-As-tu des choses de prévus ce soir? Ou acceptez-vous de me ramener chez moi... ou autre part..

La demande, accompagnée de ce regard et de ce sourire était tellement explicite qu'il était impossible que Mikawa n'en ai raté le sens.

-Kô..?

C'était la fin de sa phrase. Son nom murmuré passant dans un souffle de ses lèvres aux siennes. Jeni s'était rapprochée de sorte que le gouffre creusés entre eux ne soit que de quelques millimètres. Ridicule de loin mais immense de près.
Que vas-tu faire? Joueras-tu avec moi...?

HRP:

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Et puis après ?

Avec Jeni

Je ne suis pas dépendent d'elle. Seulement de ce qu'elle vend.

«En effet, rien ne nous y oblige... »

Je sentais sa main sur la mienne et son souffle contre mon visage alors qu'une légère odeur de shampoing flottait jusqu'à moi. Elle sentait bon, tien.
Un sourire remplis de sous-entendus déchirait mes lèvres. C'était gagné, je venais de marchander deux billets vers les étoiles. Elle s'était considérablement rapprochée de moi en empochant discrètement l'argent avant de me donner la dope. Pas crétin le client que j'étais, j'y ai jeter un petit coup d'œil. Tout y était. J'ai mis le tout dans ma poche avant de reporter mon attention sur la jeune femme qui avait l'aire clairement intéressée à passer du bon temps en ma charmante compagnie.
Soit, c'était ce qu'elle allait avoir. Et pour rien en plus, parce que la prostitution ; c'était pas mon truc.

Mon sourire s'est agrandit d'avantage quand sa main à frôler mon torse. Un coup de langue sur ses lèvres, un petit sourire en coin... J'avais vraiment envie de rire. Elle croyait vraiment avoir besoin de me draguer pour que je me retrouve dans le même lit qu'elle ? Elle était mignonne et consentante, pourquoi j'aurais refuser une partie de jambes en l'air ? Honte à moi si j'y arrive un jour.

Elle continuait de s'avancer vers moi sans quitter mon regard, continuant à user de ses charmes. Sachant que j'avais un taux de chance élever de gouter à sa chair, je me suis un peu laisser aller à quelques idées perverties. Quoi ? Bien sur que non, ce n'est pas mal sain. C'est une préparation. L'improvisation s'est bien, mais un peu de prévoyance ne tue pas comme on dit.

« As-tu des choses de prévus ce soir? Ou acceptez-vous de me ramener chez moi... ou autre part.. »

Nous y voilà. Alors que son corps était à quelques millimètres du mien et qu'elle avait vraiment l'air partante pour un petite escapade vers le septième ciel, elle à souffler mon nom.
Chaudement, presque collé à mes lèvres.
Mes yeux ont briller d'une étincelle pleine de sous-entendus alors que je lui ai répondu, un sourire charmeur aux lèvres ;

« Ce soir, je t'emmène où tu veux, beauté... »

Avec un air sur de moi, j'ai poser l'une de mes mains sur sa hanche, glissant mes doigts sur son flanc pour la rapprocher encore plus le moi. De sorte que nos corps se touchaient lorsque sa poitrine se soulevait pour prendre une nouvelle inspiration.
Elle était plutôt jolie, j'allais vraiment prendre mon pied si ça continuait comme ça ..

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Tch.. t'es en retard... Et merde...
feat Kô

-Ce soir, je t'emmène où tu veux, beauté...

La main de l'homme glissa sur sa hanche, la rapprochant davantage de lui alors que les mains de Jeni se posaient sur son torse.
Sans hésiter, la mafieuse effleura les lèvres de Kô des siennes.

-J'ai jamais vu un appart' de prof... il paraît que c'est intéressant...

Un sourire pleins de sous-entendus -oh combien purs chastes et innocents :aa:-accompagné d'un regard assez chaud.

Ses lèvres descendirent le long de sa joue pour aller effleurer le cou du professeur de français. Jeni resta un moment comme ça, à mordiller et laper doucement la peau blanche et agréable de celui qui était censé être son professeur.

Ses doigts fins remontaient et descendaient le long du torse de l'homme, passant sur ses abdos pour aller effleurer son bas-ventre avant de remonter sur ses bras musclés.
Hm... finalement, la jeune mafieuse était contente d'avoir attendu ce client.

HRP:

Codage Hikage

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Et puis après ?

Avec Jeni

Je ne suis pas dépendent d'elle. Seulement de ce qu'elle vend.

Un regard chauds et des mots remplis de sous-entendus, ce n'était décidément pas un deal comme j'en avait l'habitude, mais je n'avais aucune craintes : je savais que je m'adapterais très vite.

« J'ai jamais vu un appart' de prof... il paraît que c'est intéressant... »

Cette réplique lui a valu un sourire tout aussi innocent que ses mots. Quoi ? Vous auriez été capable de le réprimer, vous ?
J'ai fermer les yeux en sentant ses mains se balader sur mon corps et ses lèvres mordiller mon cou. Au moins, c'était clair pour tout le monde que nous parlions de le même chose. J'ai sentit ses doigts descendre jusqu'au bas de mon ventre et tout les muscles de mon corps, sans exception, se sont tendus. Elle savait faire son petit effet, je ne pouvais pas le nier. J'avais un regard plus chaud que la braise lorsque j'ai effleurer ses lèvres en murmurant :
« Tu pourras vérifier par toi-même ... »
J'ai passer mes doigts sur son bras et j'ai descendu pour les entrelacés aux siens.
« Je te raccompagne.. »
Ai-je dis en la tirant doucement vers la sortie de la ruelle, marchant de reculons, les yeux plantés dans les siens.
« Je te ferais visiter, même, si tu veux.. »
Avec un sourire mystérieux sans l'être vraiment en fin de compte, je me suis dirigé vers ma voiture sans lui lâcher la main.
Encore une fois, je me suis félicité pour la voiture que j'avais choisis. Elle avait vraiment la classe.
J'ai ouvert la portière à Jeni après lui avoir lâcher la main et je lui ai souris.
« Mademoiselle.. »
L'ai-je invité avec une voix suave.
Une fois qu'elle serait dans la voiture j'aurais la conviction qu'elle irait jusqu'au bout, mais je n'avais pas vraiment besoin de ça. J'étais déjà assez confiant.
Pour un type en retard, t'es plutôt chanceux, je trouve... sifflait ma conscience en hochant respectueusement la tête.

Hors RP:

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Tch.. t'es en retard... Et merde...
feat Kô

Jeni se sentit satisfaite lorsque sous les caresses procurées par ses doigts fins, le professeur en face d'elle se tendait.
Lorsque les paupières du sus-nommé se relevèrent pour laisser entrevoir son regard brun, la voix grave et séduisante vint caresser les oreilles de la jeune femme.

-Tu pourras vérifier par toi-même ...

Hm.. Plus qu'intéressant.
En venant ici, et en étant aussi agacé de part le retard de son désormais "ex" client, la louve n'aurait jamais pû deviner que cela se passerait ainsi.

-Je te raccompagne..

Les grandes mains de l'homme glissèrent dans celles plus petits de Yumi alors qu'elle se laissait entraîner vers l'extérieur de leur lieu de rendez vous. Son regard vairon devenant un peu plus chaud à chaque seconde qui s'écoulait, était fermement ancré dans le sien.

-Je te ferais visiter, même, si tu veux..

Tellement de sous entendu en une seule phrase.
Finalement le chatain lâcha délicatement la main de la brune et ouvrit la portière alors que celle-ci en profitait pour observer davantage son soit-disant professeur.
Elle se pencha à son oreille et souffla d'un ton qui se voulait calme mais pleins de promesses.

-Pourquoi pas... Tu as sans doutes pleins de pièces et d'objets différents à me faire découvrir...

C'est vrai... Après tout, ce genre de choses se faisait partout.
Les classiques, dans un lit, sous la douche ou sur un canapé, les originaux, contre un mur, sur le sol, sur un fauteuil, ou les exotiques, contre un bureau, sur le balcon ou même dans la voiture. Tellement de possibilités envisageables, tellement de positions... mais chut je vais être vulgaire si je continue.

Mademoiselle..

Avec un sourire faussement poli et à la fois amusé, la mafieuse passa devant le faucon pour s'asseoir sans hésitation sur le siège passager. Pourquoi hésiter? Ils étaient déjà partit de toute manière. A partir du moment où la belle brune avait montrer un quelconque intérêt pour la personne de Kô.
En même temps... il était loin d'être banal ce prof.

Jeni tourna la tête vers le visage de sa proie alors que la portière se refermait sur son ombre, ne la laissant voir désormais que son reflet.
Elle n'attendait qu'une chose. Qu'il monte, qu'il l'emmène et qu'ils passent une nuit agréable et... instructive. Ou non.
Après tout, vous l'avez deviner... Ce domaine est vraiment très loin d'être inconnu à la jeune femme.

UP?