PortailAccueilRechercherDernières imagesS'enregistrerConnexion



 
PortailAccueilRechercherDernières imagesS'enregistrerConnexion
Joyeux noël à tous, faites attention aux chocolats mhuahaha !
Le Deal du moment :
Pokémon EV06 : où acheter le Bundle Lot ...
Voir le deal

Partagez
 

 Une ode de désespoir ? [ PV : Hisoka ]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
Ikiru Yumeno
Ikiru Yumeno

☣ textos envoyés : 344
☣ phikas : 759

Masculin
☣ animal virus : Aucun =)
☣ je loge en : M#02
Une ode de désespoir ? [ PV : Hisoka ] Empty
MessageSujet: Une ode de désespoir ? [ PV : Hisoka ] Une ode de désespoir ? [ PV : Hisoka ] EmptySam 4 Oct - 22:15

Spoiler:

Un vent glacial souffle, une mélodie stridente sort de l’ombre et touche le cœur de plein fouet. Ikiru était mal ce soir-là, le doux rêveur d’un monde rose débarquait dans un monde qui n’était pas le sien. Le monde réel quoi, un monde qu’il avait fui et qu’il avait détesté. Comment réagira-t-il pour la première fois qu’il était sorti du pensionnat ?

En ce début de soirée, Ikiru était sorti en dehors du pensionnat. Ce monde qu’il avait quitté avec haine pour intégrer ce pensionnat. Bon d’accord, il ne fallait pas que la perche lui soit tendue ; mais dans le parc ce soir, un bout de grillage était arrachée ce qu’il lui permit de sortir dehors. Ikiru avait toujours eu la mauvaise habitude de se laisse tenter par tout et rien. Il déambula de rue en rue afin d’observer, voir les changements qui ont pu avoir lieu depuis son dernier passage. Les lumières étaient allumées assez tôt ces jours-ci, l’automne quoi. La période ou Ikiru se laissait aller telles les feuilles qui tombaient d’un arbre. Il ne fallait que l’observer trente secondes quoi, à cette époque ou beaucoup sortaient les écharpes, manteaux etc  … Lui se baladait en débardeur et short.

Je m’arrêtais parfois devant les vitrines de confiseries, de pâtisseries, afin de baver un peu ou de rêver sur ce que je n’aurai pas. J’avais quelques pièces sur moi, mais ce n’était pas avec cela que j’irais loin. Des bonbons dans une boulangerie, les pâtisseries qui y étaient disposées ; qui ne serait pas attirer, ou ne baverait pas là-dessus. Quand soudain un grand Aaaatchoum sortit de ma bouche. Mince, j’ai froid là. Mais comment pouvais-je revenir au pensionnat là ? Je ne connaissais pas le chemin pour y revenir. Je commençais à m’affoler et à m’inquiéter, le rythme de mes pas qualifiaient parfaitement cela ; d’un coup j’accélérais et par moment je ralentissais. Je devais sans doute passer pour un fou auprès des gens qui m’observaient dans la rue mais tant pis quoi. Je les emmerdes au pire. C’était tout ce que je détestais, le regard des gens qui me jugeaient. J’avais quitté ce monde-là pour dire au revoir à cela, au final je me retrouve de nouveau avec gens qui m’observaient, me jugeaient et me défiguraient.
Quand je ne savais plus quoi faire ; je m’affolais, je paniquais, le petit Ikiru hyper zen n’étais plus-là quoi. Malgré la présence de mon casque qui ne me quittais jamais.
Je déambulais dans les rues, avant d’atterrir dans un endroit assez sombre. Un vent soufflait de plus belle afin de me glacer le corps, la rue était sombre. Les poubelles étaient disposées tout au long des murs. On aurait pu croire que j’étais dans un contexte d’un véritable film d’horreur mais, là en étant la victime ; je devrais plus avoir peur qu’autre chose. Ou avais-je donc bien pu atterrir ?

Ikiru avait l’air paniqué, il tremblait, angoissait en ayant peur de se retourner. Qui sait, un violeur, un clochard ou autre allait l’agresser s’il se retournait se disait-il. La musique devenait stridente dans sa tête. En même temps, quand on pense à cent mille choses à la fois et que du métal se jouaient à fond dans sa tête ; il fallait bien que tôt ou tard sa tête implose. Après tout, il avait bien cherché. Il mourrait de froid et s’amusait à mettre la musique à fond pour se couper du monde. Il agonisait sur place, d’ici peu on pourrait le retrouver à la morgue s’il ne bougeait plus. Au meilleur des cas, on le prendrait pour un clochard retrouvé sur le bord de la route.
Tant de choses traversaient actuellement dans sa tête. Des questions sur sa vie ;  le passé, le présent, le futur … En fait, toute sa vie défilait en ce moment-même sur ses yeux. Bon certes, ce fut une vie qui était très raccourci à causes de certains trous que composaient son passé, mais ce n’est qu’un détail après tout non ? Quand est-ce que cela finira ? Lui-même ne le savais pas, jusqu’à qu’au moment où son corps bascula en arrière. Il avait fermé les yeux et son corps le suivit en même temps.

*Serait-ce la fin pour moi ? La fin pour un jeune enfant qui n’a pas pu aller au bout de ses rêves*
Ce fut sur ses tristes pensées qu’il tomba pour le moment au sol épuisé. Lui pensait que tout serait fini, mais certains enfants ne sont-ils pas nés sous une bonne étoile ? Une étoile qui veille sur son innocence afin de garder une douce part de bon sens dans ce monde ou régne la débauche.
Revenir en haut Aller en bas
Hisoka Mifune
Hisoka Mifune

☣ textos envoyés : 80
☣ phikas : 132

Masculin
☣ âge : 27
☣ animal virus : Corbeau
☣ je loge en : .#..
Une ode de désespoir ? [ PV : Hisoka ] Empty
MessageSujet: Re: Une ode de désespoir ? [ PV : Hisoka ] Une ode de désespoir ? [ PV : Hisoka ] EmptySam 1 Nov - 23:03

Une ode de désespoir ?


   

PV Ikiru Yumeno


   [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

   -----------------------------------------------

   

Il était un peu prés quinze heures quand notre chère adolescente à l'apparence un peu exceptionnel quitte le pensionnat pour aller en ville . On pouvait le voir au loin de dos avec son gilet noir un peu trop grand pour lui se diriger en ville . Il était tout seul comme à son habitude un vrai asocial le mec, aussi c'est sûr qu'avec sa dégaine les gens ont plus tendance à l'ignorer qu'a lui taper la discute . Alala triste vie mais ça lui était bien égal il a toujours été comme ça Hisoka il fait sa vie comme et il emmerde les gens . Alors qu'il se rendait tranquillement en ville ce dernier se rend compte qu'il a oublié sa porte monnais, Ha oui c'est très con de partir en ville sans sa porte monais surtout si on veut s'acheter des pastels pour ses croquis . Il poussa un soupir et fit demi-tour , il avait déjà super galéré à sortir du bahut sans se faire choper et voilà qu'il y retourne ce n'est pas malin ça Hisoka . Il retourne dans le bahut en toute discrétion sauf que ... on ne peut être discret lorsqu'on mesure 1m80 et qu'on est tatoué et percé de partout . Mais ça il n'avait pas l'air de trop comprendre il rasait les murs ... On aurait vraiment dit un idiot vraiment je vous jure tout le monde le regarder encore plus bizarrement que d'habitude , ce n'est pas comme ça qu'il va se faire des potes le pauvre . Une fois dans sa chambre il redescend et sort de la même façon qu'il est rentré c'est-à-dire en rasant les murs . Une fois dehors il revient tout à fait normal et reprend son chemin d'une aire complètement détaché à ce qui vient de faire c'est-à-dire se taper l'affiche ..

Il regardait un peu partout détaillant chaque chose qu'il voyait, il fait tout le temps ça Hisoka , il regarde il analyse il mémorise et il essaie de mettre ce qu'il a mémorisé de façon personnaliser sur un croquis . En voyant son visage la plupart du temps inexpressif nous pouvons penser qu'il n'en a totalement rien à faire du monde qu'il l'entoure . Mais en fait c'est tout le contraire jusqu'à qu'il ne sourit que très rarement peut-être pour se donner un genre on ne sait pas . Le jeune homme est assez difficile à cerner on ne se serait jamais imaginé qu'un jour il allait raser les murs d'une manière complètement débile et pourtant c'est ce qu'il a fait il y a quelques instants . Là si on regarde de près on peut constater qu'il est fortement intrigué par quelque chose . Il se dirige vers un arbre puis s'accroupit, Ha ce n'est qu'un champignon . Mais, mais non Hisoka recrache ça tout de suite idiot ! Et le voilà en train de gouter un champi totalement inconnu et vu sa tête il ne devait pas être on . Et le voilà qui se relève et qui reprend sa route s'il te plaît Hisoka fait un effort et arrête tes conneries par pitié .

Quelques minutes plus tard le voilà arriver en ville enfin il regarde vite fait sa montre qui lui indique seize heures et quart . Hé oui mon vieux le temps et vite passer, si tu ne t'étais pas arrêté à chaque fleur, feuilles mortes ou encore chaque champignon tu serais arrivé beaucoup plus tôt . Il soupira et et regarda un peu tous les boutiques qui se présentaient devant lui, ho non Hiso là t'a plus le temps de flâner surtout que tu sais pas où se trouve ce magasin . Arrête ! Non ! ne rentre pas idiot ! et c'est parti le voilà en train de regarder les différents vêtements il les pre, d puis les reposes . Il prend un gilet noir assez large et le regarde, non mais il se fout de moi c'est le même que celui qu'il porte ... Et le pire c'est qu'il l'achète ce c*n ! et le voilà sortit du magasin avec son sac il était tout content enfin vous ne le voyez pas mais moi je le sais même s'il sourit par il à cette expression qu'il aborde quand il est fier . Là il est fier de son nouveau gilet qui ressemble comme deux gouttes d'eau aux siens . Bon maintenant trouve-moi ce magasin Hisoka qu'on puisse rentrer ! . Il cherche, déambulant un peu partout pendant pas mal de temps avant de finalement le trouver . Il entre avec une certaine nonchalance à son entrée toutes les personnes présentent dans la boutique le détaillait dû regarder , elle le fixait vraiment comme ci il venait d'une autre planète . Il les ignora comme il fait avec les autres , il prena tout simplement ses pastels et alla les payer avant de ressortit de cette boutique . Bon nous pouvons rentrer maintenant, il fait déjà nuit regarde les lampadaires sont allumés . Mais où tu vas Hisoka ? pourquoi tu vas dans des ruelles . Mais non quel c*n ! pourquoi tu es obligé de suivre n'importe quelle enseigne lumineuse ? on dirait un parfait idiot là ... Il regarde ce qui se trouve dans la vitrine du magasin, c'était juste une librairie rien de plus ..

Alors qu'il voulait faire demi-tour il rencontre un type plutôt bizarre . Ho mon Dieu dans qu'elle merde tu t'es encore embarqué . Le mec lui parla enfin dans sa langue parce que vu la tête d'Hisoka je pense pas qu'il comprend le language de la rue . Vu la manière dont il regarde ailleurs c'est sûr ce type l'ennuie beaucoup, il trace même son chemin ignorant totalement son interlocuteur . Ce dernier fut ort désappointé de constater avec effroi comme ce jeune homme vient de mettre un terme à leur discussion . Attention Hisoka il t'a chopé le poignet ! mais le regarde pas comme ça il va te frapper tu ne vas rien comprendre . Non mais qu'est-ce qui te montres ?! mais c'est un dealer ! par Hisoka et surtout ... Non ! repose ça ! voilà rend lui c'est bien . Voilà recule pour une fois que tu fais quelque chose d'intelligent . Mais non ATTENTION ! et sans se rendre compte cet idiot à marcher sur un bras ... Un bras ?! Non mais qu'est-ce qui se passe ici ?! Et enlève ton pied Hisoka ! . Hisoka regarda le jeune homme au sol "On dirait vraiment un clochard" pensa-t-il . M'enfin soyons franc qui ne l'aurait pas pensé hein . Mais personnellement je trouve cette scène un peu bizarre . Trois types dont un dealer, un mec inconscient est un qui fait limite flipper avec sa dégaine se retrouvent dans une ruelle sombre digne d'un film d'épouvante . La scène en elle-même est digne d'un signe d'épouvante . Mais Hisoka qu'est-ce que fais arrête de tir les joues du mec qui sont par terre ! Et voilà c'est parti cet idiot d'Hisoka est en train de s'éclater avec les joues du pauvre inconnu au sol..
   
Revenir en haut Aller en bas
 

Une ode de désespoir ? [ PV : Hisoka ]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Pensionnat Hikage :: En dehors du pensionnat :: Alentours :: Appart's & ruelles-